AUX PRIMAIRES DSK DEVRA FAIRE AVEC SEGOLENE ROYAL

Publié le par SERAFINE

article_royal.jpg La candidature de Ségolène ROYAL change la donne...Tout le monde le sait...Lorsque Martine AUBRY arrive sur TF1 pour répondre à SARKOZY, c'est le trou d'audience, Tout le monde s'en va....Sur la 2, Ségolène Royal arrive et l'audience monte.

C'est qu' elle est la seule à être en proximité du peuple. Son charisme attire et comme elle dit  ce qu'elle fait et fait ce qu'elle dit, alors on la croît. Le PS a une très mauvaise image de marque selon les sondages. Les Français les estiment incapables de faire un programme et ne les croit pas capables de choisir le meilleur présidentiable...

Même la presse de droite ne croît plus en DSK et se montre extrêmement précautionneuses dans ses commentaires.

Avant de Présenter sa candidature, Ségolène ROYAL s'est entretenue avec DSK et selon ce que j'ai entendu sur BFMTV, l'entretien ne se serait pas très bien passé. Pas étonnant car il y a antinomie entre les programmes du Président du FMI et celui de Ségolène Royal.

L'un rêve, comme il l'a dit à France INTER de construire un gouvernement mondial assuré par une commission financière d'experts qui gèrerait les finances de tous les ETATS, choisiraient leurs investissements, leurs dépenses, leurs recettes..Donc retirerait tout pouvoir aux politiques nationaux et encore plus aux peuples qui seraient à la disposition des banquiers et de la finance.

L'autre construit un programme d'écologie sociale orienté sur l'emploi, le social, l'économie sociale et l'épanouissement de l'homme...Un vrai programme socialiste.

La candidature de Ségolène Royal, ça veut dire, comme l'explique FRANCE SOIR,sous la plume de Dominique de Montvallon, que Même DSK devra faire avec elle

"Qui sera le candidat du PS en 2012 ? La situation, progressivement, se décante dans le camp socialiste.

DSK le sait : comme les autres socialistes, il devra faire avec RoyalDSK le sait : comme les autres socialistes, il devra faire avec Royal© SIPALes candidatures devront donc être connues au plus tard en juin 2011, et le vote aura lieu en octobre ou, au plus tard , en novembre 2011. Mais les derniers sondages et les dernières déclarations publiques permettent déjà d'y voir plus clair.

Première conclusion : tout indique que Martine Aubry s'en tient plus que jamais au pacte... «moral» qui la lie à Dominique Strauss-Kahn. Elle ne fera connaître ses intentions personnelles qu'en juin 2011. C'est le «timing» idéal pour DSK. A cette date, le G-20 étant terminé, soit il démissionne du FMI et tente l'aventure des primaires. Soit il reste au FMI puisque son mandat ne se terminera qu'en 2012, et il renonce à la présidentielle. Pour le moment, c'est la première hypothèse qui prévaut. Dans ce scénario, Martine Aubry n'est pas elle-même candidate, et se prononce aussitôt en faveur de DSK, avec qui elle ferait équipe.

Deuxième conclusion : sans mésestimer un candidat virtuel comme François Hollande - il travaille, il est très présent mais il ne s'est pas encore déclaré - tout se met en place pour que le «challenger» du tandem DSK-Aubry, lors des primaires, s'appelle Ségolène Royal, forte de son score de 2007, de son désir de revanche et aussi du fait, à en croire l'ancien ministre de l'Education de Lionel Jospin, Claude Allègre, qu'elle a entretemps «progressé».  
Dans le dernier sondage Ifop-France-Soir, on observe que, depuis sa déclaration de candidature à grands fracas, la présidente de la région Poitou-Charentes a marqué quelques points. Si DSK est lui-même, le jour venu candidat, elle est, certes, largement distancée (52% contre 19%) mais, chez les sympathisants PS, elle arrive en seconde position et devance de deux points Martine Aubry (19% contre 17%). Et si, finalement, Strauss-Kahn n'était pas candidat,  l'écart qui séparerait Martine Aubry de Ségolène Royal serait, au départ, assez étroit : 37%  pour Aubry contre 25% pour Royal.

Bref, si l'on tient compte du fait que Ségolène Royal apparaissait ces dernières semaines en difficulté et même menacée de marginalisation, elle a clairement, depuis son coup d'éclat, rétabli la situation. En tout cas, elle est redevenue incontournable. Que cela leur plaise ou non, les autres socialistes devront «faire avec» une femme dont Dominique Strauss-Kahn disait en 2006 à l'ambassadeur américain à Paris qu'elle était, à ses yeux, portée par «une hallucination collective»"

 Le problème, c'est que l'ambassadeur américain ne faisait pas la même analyse et qu'il se montrait élogieux vis à vis de Ségolène Royal...

On comprend dès lors les embarras de la zone éléphantesque qui ne supporte pas Ségolène ROYAL, mais veut gagner à tout prix les élections présidentielles et ne peut le faire sans elle. Solférino devrait se féliciter qu'elle rentre en campagne, comme elle le dit elle même:" Aujourd'hui les Français ne savent pas ce que les socialistes feront lorsqu'ils seront aux responsabilités, c'est pourquoi il reste un travail considérable à accomplir. Il faut convaincre les Français  que non seulement l'alternance est possible, mais surtout qu'elle va changer profondément les choses. J ' entre en campagne maintenant pour prendre le temps de lever l'envie des citoyens de voter aux primaires."

 

LES SOCIALISTES DEVRAIENT ETRE RECONNAISSANTS A SEGOLENE ROYAL DE RENTRER EN CAMPAGNE ET SABLER LE CHAMPAGNE AVEC ELLE.


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P
<br /> L actualité corrobore votre analyse. Vive Ségolène Royal!<br /> <br /> <br />
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