JEAN LUC MELENCHON: NE PAS SE TROMPER DE SAISON

Publié le par SERAFINE


Mélenchon: la France va "expulser Sarkozy de sa présidence" et mettre "en déroute" le FN 

Jean-Luc Mélenchon, candidat du Front de gauche à l'Elysée, a estimé dimanche que la France allait "expulser Nicolas Sarkozy de sa présidence" et mettre "en déroute" le Front national, invité du "Grand rendez-vous" Europe 1/Itélé/Le Parisien-Aujourd'hui en France.

 



Photographe : Pascal Pochard-Casabianca :: Jean-Luc Mélenchon le 22 février 2012 à Bastiaphoto : Pascal Pochard-Casabianca, AFP

"Je pense que la France va expulser Nicolas Sarkozy de sa présidence. Et qu'elle va infliger une dure déroute à l'extrême droite", a déclaré M. Mélenchon.

Depuis janvier, "nous sommes entrés dans la mère de toutes les batailles, celle qui consiste à

 

expulser la droite du pouvoir et à rabattre le caquet de l'extrême droite", a-t-il souligné, "nous avons besoin d'une lourde défaite de M. Sarkozy et d'une lourde raclée à Mme Le Pen".

M. Mélenchon a démenti qu'on lui ait demandé de moins attaquer le candidat socialiste François Hollande - "personne ne me fait ce genre de commande compte tenu de mon caractère extrêmement rebelle" -, tout en précisant que "dans le combat politique, il ne faut pas se tromper de saison".

"Là nous sommes dans la bataille pour battre politiquement la droite et l'extrême droite. Si nous le faisons en France, même pour élire un modéré, nous donnons un signal à toute l'Europe qu'il est possible de se débarrasser des libéraux. Et ensuite notre heure viendra", a-t-il analysé.

Pour lui, "la bataille est de dimension européenne et on voit les conservateurs attroupés défendre leur digue en France parce que si la digue rompt en France, ce sera la contagion", en allusion à une entente tacite des leaders conservateurs (Angela Merkel en Allemagne, David Cameron en GB, Mariano Rajoy en Espagne et Mario Monti en Italie) pour ne pas recevoir M. Hollande, révélée par le journal allemand Der Spiegel.

Ce matin sur Orange, il était précisé que la chancelière craignait que si Hollande était élu, ie les peuples d'Europe  qui commencent à protester contre la politique MERKOZY se rallient au nouveau Président Français et qu'une résistance à sa politique ne voit le jour.

Mais en Allemagne, on ne voit pas d'un bon oeil le refus de s'entretenir avec  un candidat français qui a de fortes chances d'être élu et de ne pas être aussi souple que le précédent.....Peut on expliquer autrement la dénégation annoncé sur le 12-13 de la 3 par la chancelière de tout pacte anti Hollande. 

Merkel reculerait elle? Dans ce cas qu'attend elle pour recevoir Hollande...Sinon, les rapports entre le candidat du PS et elle pourraient, une fois élu Président être courtois, mais extrêmement frais...Et mettre l'Allemagne dans une fâcheuse posture.

Rien de cela n'a échappé à l'analyse lucide de JEAN LUC MELENCHON, qui y voit  un signal donné à toute l'Europe qu'il et possible de se débarrasser des libéraux.

Et il a raison, la renégociation du traité, c'est la traduction de l'échec de Merkel qui, en imposant une politique de rigueur à tous les pays d'Europe, prenait sa revanche sur la défaite que l'Allemagne a subie en 1944 par la main mise de son pays sur toute l'Europe, embarquée de plans d'austérité en plans d'austérité avec une Allemagne forte ne cessant de dicter ses conditions. Ce qui supposait toutefois un accord du couple Franco Allemand.

Un couple composé de la chancelière issue de l'Allemagne de l'Est qui sait parfaitement ce que fut la gestapo et un Président Français issu de la Hongrie qui ne l'ignore pas non plus.

Tout est en place pour l'instauration d'une dictature dans nos deux pays. Le fichage de tous les citoyens." La collaboration " mise en place par l'abominable Sarko qui dans les petites communes charge des hommes et des femmes de surveiller leurs concitoyens au point que certains ferment leurs volets toute la journée pour être tranquilles.

Avec ce couple diabolique c'est la fin de la République, la fin de la Démocratie.

Alors que l'on aime Hollande ou que l'on n'e l'aime pas, qu'on ne le trouve pas assez à gauche, ou trop à droite, l'essentiel est de battre Sarkozy. Dans la mesure où l'on a la certitude qu'il sera au deuxième tour, on peut voter MELENCHON, comme je le ferai moi-même; mais au second tyour, sans hésitation et sans remord, je voterai pour le mieux placé pour l'emporter, car il faut battre les SARKPOZY, LE PEN ET BAYROU.

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